L'architecture d'intérieur intégré pour mieux acoustique

Publié le 12 août 2015

L’acoustique est un sujet tendance. Et on complique les choses substantiellement. Je lis à fois sur l’intensité de son, la courbe de pondération et des fréquences qui doivent être ‘tourbillonnés’. Qui comprend ça? Et qu’est-ce qu’on peut en faire? Nous allons penser surtout pragmatiquement. 

L’acoustique est à la mode maintenant. Tout le monde est conscient de l’importance de bonne acoustique pour le sentiment d’un espace. Mais les solutions trouvées sont rarement suffisantes. Puis un architecte d’intérieur veut par exemple un tapis mural, parce que il sera bien pour l’acoustique. Mais ce n’est pas aussi simple. Bonne acoustique on n’atteint pas avec une seule solution. Une conjonction de facteurs crée l’expérience sonore.

Toutes les parties concernées autour de la table

La solution en soi est simple. Nous devons transformer de penser en chaîne, où tous fournissent leur solution l’un après l’autre à une approche intégrée d’architecture d’intérieur. C’est-à-dire: s’asseoir tous ensemble dans la phase de conception déjà pour voir comment on peut répondre aux conditions-cadres ensemble. Concevez-vous par exemple un centre d’appel dans un grand bureau en espace ouvert, puis les fournisseurs différents doivent à bien aligner leur matériaux entre eux. S’agit-il d’un environnement de restauration avec des sols durs et de finition de table lisse, on doit faire quelque chose avec autres produits en domaine d’absorption phonique.

Des fournisseurs différents peuvent apporter des solutions acoustiques différentes. Fabricants de rideaux, revêtement de sol, meubles et lampes par exemple, mais aussi constructeurs des parois flexibles et intérieurs. Tous les produits affectent l’acoustique. Dans la phase de conception nous pouvons faire cela ensemble.

site d’essai à échelle

En outre il sera très intéressant à collaborer par exemple avec TNO pour développer un site d’essai, où on peut tester des solutions acoustiques. C’est possible en grandeur réelle, mais aussi à échelle. Nous pouvions à travers de l’impression 3D faire l’aménagement à échelle et simuler les situations sonores.

C’est moi qui pense à haute voix. Peut-être ça semble cher, mais c’est très économique que faire des adaptations postérieures. Prenez par exemple TivoliVredenburg. Directement après l’ouverture il apparaît qui il y avait des problèmes acoustiques – fuites sonores entre les salles. Réparer coûtait ‘seulement’ trois cent mille euros. Alors que l’erreur aurait pu être évitée dans la phase de conception.

Groupe de travail d'acoustique

Donc, pensons de manière intégrée. Si chacun(e) partage ses connaissances, nous arrivons aux meilleur solutions. Car ensemble nous pouvons donner une mieux conseil plus extensive que chacun(e) individuellement. Alors, qui en est?

Vivian Vugts - manager marketing et communication LEOXX

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